26 trésors de Gallica
Il y a exactement un an, Gallica publiait, dans le cadre du challengeAZ-2015, proposait "Z comme Zoom". Je fais exactement la même chose parce que je me suis beaucoup servi de cet outil.
Oui, j’en ai assez ! Non, ce n’est pas de Gallica dont je parle. Que je vous explique...
Pourquoi les a-t-on appelés ainsi ? La réponse est peut-être des ce document : Petit traité de physique et chimie : enseignement chrétien, Éditeur : A. Taffin-Lefort (Paris), 18 ??, publié le 29/06/2009, consulté le 21/04/2016
Comme chacun sait (peut-être), c’est le professeur Wilhelm Conraad Roentgen qui est considéré comme l’inventeur des rayons X. Professeur Roentgen (inventeur des rayons X, CNews) : [photographie de presse], Auteur : Agence Rol. Agence photographique , 1923, Sujet : Röntgen, (...)
Et oui, Gallica a participé au challenge AZ en 2015. Pour la lettre W, la BNF avait choisi... "W comme Williers".
En lisant l’article, j’ai été intrigué par la section chant.
Aucun problème pour trouver ce "trésor" de Gallica, donc. Tout est toujours accessible : [Archives de la parole]. , [Le cornemuseux] : [chanson populaire] : français patoisé / [Ferdinand Brunot], collecteur ; [Charles Bruneau], collecteur, transcr. ; [Emile Dalier, 31 ans, maçon], chant. Le document date de 1912. (...)
Travaillant actuellement à l’indexation des poilus de la première Guerre Mondiale sur le site Mémoire des Hommes dans le cadre de l’opération "un jour un poilu", je vais utiliser l’action autour "des poilus de Verdun" (#PoilusVerdun) pour illustrer ma démarche de recherche sur Gallica."
Les URL de Gallica utilisent le "système" ARK. Mais que sont ces adresses qui contiennent toutes ark ? Quelle en est l’utilité ? Pourquoi est-ce incompréhensible ? Pourquoi une adresse ark ne "parle"-t-elle pas beaucoup ?
Gallica (et la BNF) tente, dans son blog, d’aider chacun d’entre nous à chercher dans ses trésors. Voici quelques pistes : 4 questions à se poser si une recherche n’obtient pas de résultats Pour en savoir davantage, ne pas hésiter à consulter ce blog Ai-je bien effacé ma précédente recherche ? Les termes de ma recherche sont-ils compatibles avec l’offre documentaire de Gallica ? Les termes que j’emploie étaient-ils utilisés à l’époque sur laquelle porte ma recherche ? Les documents sur lesquels porte ma (...)
Histoire agricole du Berry, monographie agricole du Cher. Tome Ier, Menault Ernest (1830-1903), Éditeur : Hachette (Paris) 1890, pages 159 et 160, mis en ligne le 10 juillet 2012, consulté le 3 avril 2016
Manuel des voies navigables de la France, avec leur prolongement au delà des frontières (2e édition révisée et augmentée), Larue, Antoine Éditeur : Pautet (Creusot) 1877, page 254 De l’utilité du canal
Revue contemporaine, 1852-04, Directeur de publication : Alphonse de Calonne, page 533, mise en (...)
Note : l’utilisation du lecteur externe a été rajouté après la rédaction de l’article : Essai sur l’origine de Rocamadour et la Sainte Coiffe : antiquités chrétiennes du Quercy, Bourrières Michel, Éditeur : Impr. cadurcienne (Cahors), 1888, mise en ligne : 29/12/2009, consulté le 2 mai 2016
Qu’y apprend-on ?
D’après ce document, la notoriété de Rocamadour serait très liée à la Sainte-Coiffe et l’origine de Rocamadour serait liée à Saint-Amadou. Histoire religieuse sans nul doute mais au travers de ce texte, (...)
Si j’en crois Guillaume Lacoste (1883-1886), le mot ne peut pas provenir de Quercus (le chêne). D’après lui, il viendrait de Cadurci tout comme le nom de la ville de Cahors.