Comment...
Je ne cherche pas les branches l’une après l’autre mais seulement les personnes. Je consulte beaucoup les arbres généalogiques en ligne et il arrive souvent, c’est vrai, que ce soit toute une branche qui soit ainsi apportée comme sur un plateau. Je recopie les fiches individuelles seulement si, au moment de leur découverte, les personnes sont soit de nouveaux ancêtres, soit des descendants nouveaux d’ancêtres (dans ce cas, je ne vais généralement pas au-delà la deuxième génération (conjoints compris). Dans les sources j’indique l’arbre en ligne qui m’a permis de trouver et dans une note associée à la source, je note, maintenant [1], le lien vers l’arbre afin de pouvoir y revenir.
Vérifications et contrôles des données
Je ne vérifie souvent les données que plus tard, lors de l’accès de vérification des actes à mon arbre en suivant un récapitulatif dans une feuille de calculs. Mais, j’ai une très forte tendance à ne vérifier systématiquement que les données concernant les ancêtres directs des MaLiBeLe MaLiBeLe La généalogie telle que je la vois à travers l’arbre généalogique de mes petits enfants. (leurs "sosas"). Je ne le fais pour les autres que lorsque je recherche une information associée.
Les épines généalogiques
De temps à autre, je découvre ainsi une "épine généalogique" [2] qui me prend quelquefois du temps pour la résoudre (il arrive même qu’elles restent longtemps en suspend). Parfois, je trouve des informations contradictoires mais c’est là l’avantage du recoupement (par contre, choisir la bonne donnée ou la plus probable n’est pas toujours facile parce que beaucoup trop de généalogistes n’indiquent pas leurs sources ou le font trop sommairement).
Pourquoi...
Je procède ainsi par que je considère mon arbre en ligne comme un outil de recherches (il contient donc des éléments non confirmés) et non pas comme le fruit des recherches complètement abouties. D’ailleurs, en généalogie, quand une recherche est-elle complètement terminée ?
Mes outils annexes
Je répète : l’arbre généalogique en ligne est mon outil principal de recherches mais j’ai plein d’autres "machins" à côté :
- Une feuille récapitulative des actes des ancêtres directs (les "sosas").
- Un classeur de feuilles de vérification systématique des données dans l’ordre de leur numérotation (j’utilise une base de données SQL SQL Structured Query Language (langage de requête structurée) : voir Wikipedia SQL dont les liens entre les tables et les fiches sont toujours des numéros comme dans beaucoup de base de données (les mêmes numéros que dans le gedcom).
- Des projets associés : inventaire des habitants de ma commune natale via les recensements, généalogie des habitants du village de mon enfance...
- Rédaction d’un ambitieux (sans doute un peu trop...) livre de généalogie familiale
- Quelquefois, notes systématiques des rencontres d’un nom de famille dans un lieu donné à partir d’un registre (feuilles de calculs pour faciliter les tris, les classements et les rangements).
- Gestion d’un blog (un site web plutôt) pour mettre au point mes réflexions [3] et consigner mes lectures [4]. Raconter s’avère un excellent moyen de clarifier ses idées et de mettre un peu d’ordre (souvent nécessaire !). J’ai même dû créer quelques modèles pour mon CMS CMS Content Management System. En français, SGC : Système de Gestion de Contenu. afin de relier les articles du site sous Spip SPIP Système de Publication Pour l’Internet (CMS utilisé pour le présent site). Voir Wiipedia SPIP et l’arbre en ligne sous webtrees).
- ...
Des logiciels
- un tableur : c’était Excel, c’est Calc de Libre Office
- un logiciel de généalogie : c’est webtrees après en avoir testé une dizaine
- un CMS CMS Content Management System. En français, SGC : Système de Gestion de Contenu. : Spip quasiment depuis qu’il existe (2001) !
Pour les classeurs et les feuilles de calculs, j’ai longtemps travaillé uniquement avec Excel mais je passe peu à peu à Calc (celui de LibreOffice). Ayant créé beaucoup de macro-procédures pour accéder beaucoup plus rapidement à l’arbre généalogique, je suis dans la nécessité de vérifier si elles fonctionnent correctement avec Calc. Il y a des variations sur les fonctions qui peuvent amener à une vraie complexité.
Pour l’arbre généalogique, j’utilise le logiciel webtrees [5] qui me permet de travailler en local (même lorsque je n’ai pas de connexion Internet par exemple) et en distant (le site public fonctionne donc un peu comme une sauvegarde).