- Un xénarthre est un animal de la famille des fourmiliers, des tatous et des paresseux [1]. Donc mon chef me disait que je prenais trop de temps !
- En généalogie, vaut-il donc mieux être un xénarthre qu’un guépard qui fonce sur tout ce qui bouge et abandonne très vite sa recherche ?
- Quand je vois un arbre généalogique en ligne qui dépasse les cent mille personnes répertoriées alors, je me souviens et... je me traite de xénarthre.
- Bon, d’accord, un xénarthre ça prend son temps mais au moins ce qu’il fait, c’est bien fait. C’est ce que je me dis quand je ne trouve pas d’erreurs dans une série de fiches généalogiques. Malheureusement, ça n’arrive pas si souvent que ça !
- Le fourmilier, un xénarthre ? Mais alors, ça veut dire que je ramasse tout ce qui traîne à ma portée. Il ne reste plus qu’à trier ensuite. C’est le comportement d’un type particulier de généalogistes qui a très peur de ne pas retrouver une information rencontrée.
- Suis-je un xénarthre ou ne suis-je pas un xénarthre ? That is the question...
- Comme j’ai la flemme, je ne vais pas chercher la réponse et je vais reprendre mon sommeil. N’est pas xénarthre qui veut !
- De toutes façons, tout vient à point à un xénarthre. En généalogie, j’ai bien fini par trouver d’où venait Juliette, la parisienne, mère de six enfants, tous de père inconnu.
- Et vous, en généalogie (ou ailleurs), êtes-vous plutôt de la famille des xénarthres ?
- Cette année, avec le challengeAZ, j’ai un peu surjoué à être un xénarthre pur et dur. Non ? Vous êtes-gentil.
- "A bon xénarthre, salut."