En généalogie, on a toujours besoin d’apprendre, d’acquérir de nouvelles connaissances, de mieux connaître certains pans de l’histoire. Savoir c’est aider à comprendre.
parrain : à l’origine "celui qui accompagne un enfant ou un adulte au baptême ou qui présente un confirmand à la confirmation" (source : Larousse). Donc, un sens plutôt religieux. De nos jours, c’est plutôt "celui qui présente, introduit quelqu’un dans un cercle, dans une société, un club, etc." marraine : à l’origine celle "qui accompagne un candidat au baptême et le plus souvent qui le tient sur les fonts baptismaux au moment du baptême" (source : Larousse). Donc un sens plutôt religieux. De nos jours, (...)
Les codes Gedcom (attention, les "niveaux" ne sont pas indiqués ici).
Les URL de Gallica utilisent le "système" ARK. Mais que sont ces adresses qui contiennent toutes ark ? Quelle en est l’utilité ? Pourquoi est-ce incompréhensible ? Pourquoi une adresse ark ne "parle"-t-elle pas beaucoup ?
Gallica (et la BNF) tente, dans son blog, d’aider chacun d’entre nous à chercher dans ses trésors. Voici quelques pistes : 4 questions à se poser si une recherche n’obtient pas de résultats Pour en savoir davantage, ne pas hésiter à consulter ce blog Ai-je bien effacé ma précédente recherche ? Les termes de ma recherche sont-ils compatibles avec l’offre documentaire de Gallica ? Les termes que j’emploie étaient-ils utilisés à l’époque sur laquelle porte ma recherche ? Les documents sur lesquels porte ma (...)
Il n’y a pas que le titre que j’emprunte à Gallica. Je pique même le contenu de son article pour le challengeAZ 2015 : N comme Noblesse. Parce que...
Tous les généalogistes arrivent à l’époque révolutionnaire sans de trop grandes difficultés. Cette période est caractérisée par l’utilisation d’un calendrier spécifique dit "révolutionnaire". Le découpage de l’année était alors modifié et les mois (terme conservé pour le découpage) étaient dénommés différemment. Mais d’où viennent ces noms qui se voulaient indépendants de toute trace de religion.
Probablement l’un des documents des plus anciens qui contiennent des informations sur mes ancêtres carennacois, tous du "monde des invisibles". Malheureusement, je ne suis pas (encore) capable de déchiffrer ce document.
Je ne cherchais pas dans Gallica mais, sur la toile, dans les réseaux sociaux, à travers les récits généalogiques, Gallica était souvent présent. J’ai eu beaucoup de mal à entrer, moi, le geek !
Par simple curiosité, j’ai tapé histoire dans le moteur de recherche de Gallica mais les plus de cinq cent mille résultats m’ont effrayés. Alors,
Je séchais dans le challengeAZ avec la lettre D sur mon thème "les trésors de Gallica" quand, comme un éclair ce matin, cela m’est apparu comme une évidence.
