Ça parle des briques dans la presse et sur le web
Métiers d’hier : le briquetier – tuilier
La brique fut le premier matériau de construction utilisé là où il n’y avait pas de pierre. La région, la Sologne en particulier, possède une terre essentiellement propice à la fabrication de la brique, de la tuile, du carreau et des divers produits de poteries faciles à fabriquer mécaniquement, tels que les tuyaux de drainage, les formes de cheminées. Les forêts proches fournissent les bourrées de bois de pins utilisées dans le chauffage des fours.
Briques et (...)
d’un soleil torride et un feu brûlant, poussée vers les fours afin qu’elle devienne une brique rouge destinée à la construction des châteaux des riches et des logements des plus modestes
Source : rtbf.be
Mathieu Guitoun est un jeune entrepreneur. A 25 ans, il a décidé de devenir briquetier. Sa production est artisanale, celle d’une brique comme on la faisait jadis dans nos campagnes, la brique de Hesbaye.
Un rêve se réalise
A 25 ans, Mathieu Guitoun réalise son rêve, celui de travailler dans le secteur de la construction aux côtés de son père qui s’est spécialisé dans la rénovation de bâtiments anciens. Il utilise un produit du terroir : la brique de Hesbaye. "C’est une brique 100% (...)
André Doceul bichonne sa collection de 2 743 briques ! (Article paru dans Oust-France le 28/09/2013)
André Doceul, maçon à la retraite, est un brickostampaphile avertit... ou plus simplement un collectionneur de briques. À ce jour, pas moins de 2 743 briques sont répertoriées, classées dans le hangar qui abritait auparavant son entreprise. Elles sont rangées par pays ou région d’origine et toutes estampillées du nom de l’usine ou elles ont été fabriquées. Voilà un véritable petit musée et un (...)
article publié le 20/04/2008 dans Presse Océan et publié sur le site labaule.maville.com
Ancien maçon à Saint-Etienne-de-Montluc, André Doceul a toujours aimé les briques. Au point de devenir brickostampaphile, ou collectionneur de briques, mais pas n’importe lesquelles : elles doivent être estampillées du nom de l’usine qui les a fabriquées.
De prime abord, le petit musée d’André Doceul est un régal pour les yeux : il offre un joli et chaud camaïeu d’ocre, avec ça et là des briques presque blanches et (...)
[Dans la Nouvelle république,] Chaque jeudi d’août, le Grahs raconte l’histoire de la Sologne. Cette semaine, les chercheurs nous mènent sur les outils de production d’époque.