L’éditorial est, avant tout, un texte d’opinion. Il offre la position de l’éditeur du site ou de la revue (journal ou autres périodiques). Quelquefois, il est rédigé par l’un des autres rédacteurs lorsqu’ils existent. Il traite habituellement de sujets d’actualité pour le site ou le journal. Le texte est généralement mis en valeur par sa position et son unicité. En effet, une édition ne compte habituellement qu’un seul éditorial.
L’éditorial donne donc le point de vue de l’éditeur. A ce titre, il engage le (...)
Mon chat est mort et cela n’intéresse personne. Et moi, je pleure, comme un idiot (j’ai failli écrire comme un c... Peut-être aurai-je dû ?)
"Un chat, ce n’est qu’un animal..." Je suis sûr que certains ont ainsi envie de me répondre. Oui, mais c’était mon chat. Elle s’appelait Câline. Et je suis triste, voilà. Très triste.
Je ne la verrai plus venir réclamer un câlin quand je regarde un film à la télé m’empêchant de voir l’image au moment presque le plus crucial. Elle ne viendra plus miauler à la fenêtre (...)
"La vie, c’est l’espace de temps qui sépare la naissance de la mort." Cette affirmation paraît évidente. J’ai repéré cette phrase il y a bien longtemps et je ne sais pas qui l’a un jour écrite.
Chacun mène sa vie comme il l’entend. C’est un des éléments de notre liberté. Mais la vie est un tout. Certains voudraient la cloisonner, la saucissonner pour mieux la gérer, pour comprendre, pour prévoir, ... Les temps du travail, les temps des loisirs, les temps de la famille, les temps vitaux (boire, manger, (...)
Etre responsable d’une association, c’est d’abord être bénévole. On fait donc, en théorie, ce que l’on aime faire.
Oui mais voilà, il y a la conscience. On ne peut pas l’appeler professionnelle. Serait-ce une conscience associative ? Non, je ne crois pas. Il s’agit plutôt de ne pas décevoir ce qui vous ont choisi (ou accepté souvent ou très sollicité presque toujours) : c’est donc une conscience personnelle.
Alors, on en fait beaucoup, trop même. Et on finit par créer des jaloux, des envieux, des (...)
Un mercredi après-midi de mars, en partant travailler, une tache orange attirait irrésistiblement mon regard depuis le stop de la route de Marcilly à l’Ouaillerie. Cette couleur ressemblait diantrement à celle des maillots du club.
Conte ordinaire.
Il y a celle qui est avachie sur son fauteuil, le menton dans sa main et qui donne l’air de bouder. Pourquoi est-elle fâchée ou vexée ?
Il y a celle qui attend on ne sait quoi, debout, le dos appuyé au mur et qui a aussi l’air de s’ennuyer plus que sérieusement. Qui lui a posé un "lapin" ?
Il y a celui qui est très sérieusement assis, les mains sagement alignées sur ces genoux, le col de son imper relevé, son chapeau en feutre mou rabattu sur ces yeux afin, sans doute de dormir. Pourquoi passe-t-il (...)
Nombreux sont ceux qui se sont posé la question à propos d’eux-mêmes un jour ou l’autre. Je n’échappe pas à la règle commune.
Pourquoi ai-je donc tant l’impression que je n’existe pas aux yeux des autres ?
Pourtant, je sais faire : j’ai quelques compétences même si elles sont plutôt restreintes. J’ai aussi quelques connaissances. Je fais sans doute partie des "intellos", de ces personnes qu’on dit quelque peu cultivées. Tout au moins m’y classe-t-on ?
Mais qu’est-ce qu’un intello ? Qu’est-ce que la (...)
Il faut bien se présenter... Même si cela fait un peu "narcissique"...
Ben moi, c’est moi. Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Je ne vais tout de même pas vous dire que je suis marié et que j’ai deux superbes filles ? Ca ne regarde que moi, non ?
Je ne vais pas vous dire que je suis instit ? c’est seulement mon boulot.
Je ne vais pas vous dire que je suis un cyclotouriste pratiquant : il y en aurait bien un pour croire que je suis membre d’une secte. Quoique...
Je ne vais pas vous dire (...)
A-t-on le droit d’être nul ? de ne pas savoir ? d’ignorer ? C’est une question que chacun d’entre nous s’est un jour posée... N’est-ce pas ? Mais le motif n’est pas toujours le même !
Ce peut être parce qu’on a été traité de nul et, sans argumentation suffisante, on finit par y croire soi-même ! Ce peut-être parce qu’on estime avoir échoué. Cette appréciation personnelle, nécessairement subjective, est toujours créée par un sentiment, jamais par des évènements objectivement perçus. On a beau le savoir, il reste (...)