26 trésors de Gallica
Un livre scolaire donne une explication à l’origine de ce nom. Est-ce la bonne ? Je ne sais mais je trouve cette étymologie possible.
En panne d’idées pour le challengeAZ, je tombe un peu par hasard sur le blog de Gallica et un article sur l’origami et les jeux de papier de Mélanie Leroy-Terquem (publié le 24 novembre 2015).
Il n’y a pas que le titre que j’emprunte à Gallica. Je pique même le contenu de son article pour le challengeAZ 2015 : N comme Noblesse. Parce que...
Tous les généalogistes arrivent à l’époque révolutionnaire sans de trop grandes difficultés. Cette période est caractérisée par l’utilisation d’un calendrier spécifique dit "révolutionnaire". Le découpage de l’année était alors modifié et les mois (terme conservé pour le découpage) étaient dénommés différemment. Mais d’où viennent ces noms qui se voulaient indépendants de toute trace de religion.
Probablement l’un des documents des plus anciens qui contiennent des informations sur mes ancêtres carennacois, tous du "monde des invisibles". Malheureusement, je ne suis pas (encore) capable de déchiffrer ce document.
J’entends d’ici mes lecteurs : "Hibou, ça commence par un H pas par un K ! Il déraille complètement en vieillissant." Et bien non, je ne déraisonne pas encore (même si ça viendra sûrement un jour). Mais, comme vous...
Je ne cherchais pas dans Gallica mais, sur la toile, dans les réseaux sociaux, à travers les récits généalogiques, Gallica était souvent présent. J’ai eu beaucoup de mal à entrer, moi, le geek !
Comme son nom ne l’indique pas, les igues de Magnagues (des grottes) ne sont pas à Magnagues, mon village natal, mais à un bon kilomètre en allant vers le Causse (direction sud/sud-ouest). Des poteries plombaginées y ont été trouvées, une grande colonie de chauve-souris en occupe les lieux, une opération survie y a été tentée, enfant j’ai exploré ces grottes dans tous les sens.
Par simple curiosité, j’ai tapé histoire dans le moteur de recherche de Gallica mais les plus de cinq cent mille résultats m’ont effrayés. Alors,
Je suis né en des lieux où mes ancêtres vivaient : une petite région de France truffée de ces couloirs souterrains ou puits naturels. Qui n’a pas entendu parler du goffre de Padirac ?