Généalogie des MaLiBeLe
Les ancêtres ont fait ce que nous sommes. Mieux les connaître, c'est donc mieux nous connaître.
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La vie, c'est une grande réclamation qu'il n'est pas commode d'apaiser.  (Armand Salacrou )
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Il est étonnant de constater que le chagrin d'une mère qui a perdu un de ses fils s'atténue quand un autre est atteint par la maladie.
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Lorand

Site personnel de Roland Bouat. Pour les curieux : Lorand est un anagramme de Roland.

Il n’y a pas si longtemps nos ancêtres ne se déplaçaient guère. Il est alors possible de définir approximativement une zone dans laquelle toute leur vie s’est déroulée. De l’approximation en matière de lieux comme on fait si facilement en manière de date...

Qui ?

La zone de déplacement (celle qu’on pourrait qualifier de moyenne) de nos ancêtres s’est considérablement élargie depuis la deuxième moitié du XXème siècle surtout. Jusqu’au XIXème, nos ancêtres se déplaçaient peu pour leur vie quotidienne. Quelquefois, on trouve des déplacements plus lointains généralement associés à l’activité de soldat et donc des guerres.

Quoi ?

Les zones de déplacement de nos ancêtres ont bien sûr leurs exceptions. Un des ancêtres des MaLiBeLe MaLiBeLe La généalogie telle que je la vois à travers l’arbre généalogique de mes petits enfants. dont le décès paraissait invisible a, en fait disparu, sur la place de la Bastille en juillet 1789 officiellement suite à un accident ! Une autre ancêtre semblait avoir surgi à Paris au milieu du XIXème et avoir tout aussi brutalement disparu. Un heureux hasard de circonstances a fait retrouver ses origines dans le nord de la France et sa vie qui a probablement était plutôt dissolue comme on dit, s’est terminé par un mariage officiel après 6 enfants avec des pères inconnus.

Où ?

Globalement, nos ancêtres jusqu’au XIXème se déplaçaient souvent suite à leur mariage mais n’allait guère plus loin que la commune (ou la paroisse) voisine. La zone de déplacement pour mes ancêtres s’est même d’ailleurs longtemps limités aux hameaux voisins dans le nord du causse de Gramat dans le Lot.

Quand ?

Il s’avère que de nos jours la zone s’étend maintenant au monde entier. Les MaLiBeLe MaLiBeLe La généalogie telle que je la vois à travers l’arbre généalogique de mes petits enfants. sont nés en France dans le département du Rhône. Leurs parents sont originaires de Sologne et de Bourgogne. Leurs grands-parents de Bourgogne, du Perche et du Quercy. Au delà, les ancêtres sont issus des mêmes régions. Bien qu’ils ne soient pas encore majeurs, ont déjà vécu quelques années en Guadeloupe et maintenant au Cambodge. "Les voyages forment la jeunesse" dit-on...

Comment ?

Il est évident que la taille de la zone de déplacement de nos ancêtres est très liée au mode de déplacement. Autrefois, c’était à pied : on n’allait donc guère loin et, si c’était le cas, pas très souvent en raison du temps nécessaire pour effectuer le déplacement. Puis sont venus le train et l’automobile qui se sont surtout généralisés après la deuxième guerre mondiale. La fin du XXème a vu l’avènement de l’avion qui a rapproché temporellement toutes les contrées du monde.

Pourquoi ?

Peut-on maintenant parler de zone de déplacement si elle est quasiment à l’échelle de la planète ? Est-ce que cette évolution est seulement liée aux modes de déplacement ? Ne serait-ce pas surtout l’évolution de la connaissance de la géographie de la planète qui, en attisant les curiosités et l’envie de voir de ses propres yeux, auraient donné cette envie de voyager et donc de "voir le monde".


Même ma vie témoigne de cette évolution très récente de l’expansion de la zone de déplacement :

  • J’ai effectué mon premier grand voyage en auto au début des années 60 : c’était pour aller à Brive-la-Gaillarde à cinquante kilomètres de la maison.
  • J’ai pris la première fois le train à la fin du mois de mai 1968 (difficile à oublier n’est-ce pas ?) pour aller passer un concours à 400 km !
  • Je suis monté dans un avion la première fois en 2011 pour me rendre en Macédoine à un concours européen. Depuis, je suis allé en Guadeloupe, en Grèce, au Canada, au Cambodge...

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