J comme Je cherche dans Gallica

Et j’ai rencontré, au cours de mes pérégrinations comme un panorama exceptionnel dans un paysage inconnu, des regroupements d’informations qui peuvent faire gagner du temps mais qu’il faut prendre avec prudence et circonspection afin de ne pas perdre son objectif de vue, que que soit cet objectif.

En ce mercredi d’avril, par les hasards des lectures web, je tombe sur les "ressources généalogiques" de Gallica.

• Armorial général de France (Armorial d’Hozier) mais je n’ai pas d’ancêtres royaux ou seigneuriaux...
• Cabinet des titres mais cela concerne la chambre des comptes de Paris et mes ancêtres n’ont rien à voir avec Paris, bien trop éloignés qu’ils en étaient.
• Carte générale de la France de Cassini : ici, par contre, je vais trouver sûrement mon bonheur entre les villages disparus de mes ancêtres, les écritures très évolutives de leur nom, des lieux complètement effacés des mémoires...
• Fichier Bossu : soyons honnête (au moins intellectuellement), j’ai déjà rencontré mention de ce "fichier" et, comme il répertorie les maçons et que plusieurs de mes ancêtres ont exercé ce métier, j’ai un temps espéré les y rencontrer. Mais, peine perdue...
• Fichier Laborde : ce fichier m’était inconnu (jamais entendu parler) mais, n’ayant pas d’artistes parmi mes ancêtres (qui plus est de la région parisienne), il demeure pour l’instant, sans intérêt pour moi.
• Indicateur des mariages de Paris : je m’interroge. Y trouverais-je trace d’une ancêtre ch’ti de mon épouse, une lingère devenue parisienne et qui a dû avoir une vie étonnante au vu de ses enfants, tous placés, tous de père différents et inconnus. Elle a fini par se marier, à Paris.
• Journal officiel : je ne sais pas encore comment utiliser cette source d’informations d’un point de vue généalogique...
• Liste officielle des prisonniers français (1940-1941) : pour l’instant, je n’ai trouvé aucun ancêtre qui pourrait figurer dans ce fichier mais, j’ai découvert récemment, que ma famille cachait soigneusement toute information sur cette période. Alors, sait-on jamais ?
• Presse : peut-être pas nécessairement utile pour des recherches strictement généalogiques mais sans nul doute, là aussi, un trésor pour mieux connaître les conditions de vie de nos ancêtres (plutôt proches quand même pour moi qui ai vécu la moitié du siècle dernier).
• Ressources locales : titre tentant et attirant. A consulter donc prochainement.
• Revues des sociétés savantes : là, je suis certain de satisfaire quelques-unes de mes interrogations sur la petite histoire. D’ailleurs, j’ai déjà obtenu de nombreuses réponses mais étaient-elles accessibles par ce lien ?

Liste exhaustive à ce jour mais, comme l’écrit Gallica en exergue de ce regroupement : "Cette page ne peut rassembler l’ensemble des documents de Gallica pouvant intéresser les généalogistes, mais donne accès aux principales ressources de Galllica susceptibles d’intéresser les internautes, et détaille pour chacune les modalités de recherche. Elle sera enrichie progressivement."

Pourquoi est-ce un trésor pour les MaLiBeLe MaLiBeLe La généalogie telle que je la vois à travers l’arbre généalogique de mes petits enfants.  ?

Et si l’un d’eux avait l’heureuse idée de poursuivre mes recherches généalogiques, de les compléter, de les améliorer, de les corriger... Voilà peut-être quelques aides utiles.