Généalogie des MaLiBeLe
Les ancêtres ont fait ce que nous sommes. Mieux les connaître, c'est donc mieux nous connaître.
La citation du jour
La vie est pleine de joies et de peines entremêlées inextricablement.  (Cédric Villani )
La réflexion du jour
Une photo est rarement lue de la même manière par tous : c'est en ça qu'elle n'est pas toujours un témoin objectif.
Activités
bénévole - geek - cycliste (cyclotouriste) - généalogiste - photographe - collectionneur - écrivain - enseignant - Diverses informations
Les mots clés
Le monde de l’astronomie * le monde des associations * le monde agricole * le monde du langage * le monde de l’école * Le monde des sciences et de la vie
Lorand

Site personnel de Roland Bouat. Pour les curieux : Lorand est un anagramme de Roland.

Mots clés : généalogiste , réfléchir , challengeAZ-2013

dimanche 14 avril 2013 , par Roland


Un tout petit facteur (seul 1 est plus petit mais reste inefficace) mais redoutable. Un chercheur du CNRS s’est amusé à calculer la population nécessaire pour que tous les ancêtres n’aient aucun lien de parenté. La limite de la population mondiale est franchie bien plus vite qu’on ne pourrait le penser. Certains ont fait les calculs et il paraîtrait qu’il suffirait, toujours, de 7 générations pour trouver un lien comme il paraîtrait qu’il suffit de 7 liens de connaissance pour relier deux personnes contemporaines entre elles par un lien de simple connaissance ! Étonnant, n’est-il pas ?

Mais le système binaire est utilisé en généalogie dans la numérotation dite de Sosa-Stradonitz.

Son avantage est donné par l’efficacité simplissime des puissances de deux qui sont, comme chacun sait, à l’origine de l’informatique. Par convention définitive, les pères ont toujours un numéro pair (normal puisqu’ils sont pères… ;-) ), le double de celui de leur enfant et les mères le numéro qui suit (elles sont donc impaires et c’est normal puisqu’elles ne sont pas pères ;-) ). Ainsi le père du n°1 a numéro 2 et la mère le 3, 4 pour le grand-père paternel, 5 pour la grand-mère paternelle, 6 pour le grand-père maternel, 7 pour la grand-mère maternelle… Tout mathématicien aura déjà compris que les puissances de 2 déterminent la génération. la génération du n° 1 devrait donc être la génération numéro zéro et non pas la numéro 1 comme c’est trop souvent rencontré. Pour calculer la génération, il suffit de prendre la partie entière du logarithme de base 2. Un numéro écrit en base 2 permet de trouver rapidement le lien entre l’individu à qui il est attribué et celui qui détient le numéro 1. Un exemple : dans la généalogie des MaLiBeLe MaLiBeLe La généalogie telle que je la vois à travers l’arbre généalogique de mes petits enfants. , ma grand-mère maternelle Maria de Rocamadour (46), a le numéro 27. En base 2, cela s’écrit 11011. Elle appartient donc à la génération 4 (5 chiffres) et l’enchaînement est : 1 = de cujus (mes petits-enfants) PUIS 1 = mère (ma fille) PUIS 0 = père (moi) PUIS 1 = mère (ma mère) PUIS 1 = mère (ma grand-mère). Bon d’accord, c’est encore des mathématiques ! Mais, que voulez-vous, j’ai toujours aimé les maths quand elles décrivent ainsi la vie et, maintenant plus particulièrement parce qu’elles décrivent les liens généalogiques.